La légère a fait des tas d’enfants
Les enfants font sans leurs parents
La mégère ne leur sert que des harengs
Ils préfèrent chasser les éléphants
Ils ont cessé de vivre dans des cabanes
Ils ont brulé vive toute la savane
Ils ont rase ivre toute la foret
Ils ont cassé tout ce qu’ils ignoraient
Les empruntes se sont alors accru
Pour digérer celle qui a crû
On annonce de faire les truies
On attend en vain la tombé des fruits
La télé nous montre des mômes et des fusils
Étalés après sur d’immondes jacuzzis
Ce spectacle était pourtant pour les papas
La guerre à refondre ces temps ses katas
Pierre Emmanuel OMBOLO MENOGA