Tu rimes et tu pleures
Et les mots se meurent
Dans tes belles lettres
Qui disent ce mal être
Qui est rentré dans ta vie
Où dans l’attente du bonheur
Tu as reçu ce malheur
Qui fait perdre l’envie
De croire même un peu
À ce planétaire feu
Qui lorsqu’il arrive
Te renverse à la dérive
Pour une autre petite saison
Ce feu encore reviendra
Et encore il te prendra
Ce point délaissé par ta raison
Par Pierre Emmanuel OMBOLO MENOGA