IVRE DE LIVRES

« Les livres, c’est comme les rues. Il ne faut pas se

plaindre d’en avoir trop. Il faut tout faire pour qu’il y

en ait toujours assez. Car, plus il y en a, plus les

hommes et les femmes peuvent aller et venir dans

le monde des idées et des actions. Moins il y en a,

moins les hommes et les femmes ont la possibilité

de rêver, de voir, d’entrevoir et de percevoir autre

chose que ce qui est prompt à rendre ivre leur vue. »

Pierre Emmanuel OMBOLO MENOGA